Un plat traditionnel revisité : les côtelettes d’agneau façon « gigot de 7 heures »

30 Mar Un plat traditionnel revisité : les côtelettes d’agneau façon « gigot de 7 heures »

Toujours à la recherche de nouvelles recettes, j’ai eu envie de revisiter le fameux « gigot d’agneau de 7 heures », summum des plats traditionnels succulents. J’ai utilisé pour ce faire des côtelettes d’agneau du Talagard de Salon de Provence.

La viande était savoureuse à souhait avec cette recette et va très bien avec des haricots verts. Pour préparer le vrai « agneau de 7 heures », il vous suffit de doubler les quantités, de faire revenir le gigot dans la cocotte à la place des côtelettes et de le cuire 7 heures au lieu d’une heure trente. Les personnes mangeant sans gluten pourront se faire plaisir sans arrière pensée, en choisissant les ingrédients appropriés.

Ingrédients pour 2 personnes

• 3 ou 4 côtelettes d’agneau bio suivant leur taille
• 1 carotte bio (au moment où j’ai préparé ce plat, je n’en avais plus alors j’ai utilisé des poivrons grillés pelés et c’était très bon)
• 2 oignons bio
• 1 boîte de tomates concassées
• 3 gousses d’aïl
• 1 cuillère à café d’herbes de Provence
• 1 branche de romarin frais
• 20 cl de bouillon de bœuf (préparé avec un 1/2 bouillon cube ou une cuillère à soupe de bouillon en poudre sans gluten)
• 10 cl de vin blanc sec
• 2 cuillères à café d’huile d’olive
• Sel et poivre

Préchauffez les four à 180°C. Epluchez la carotte et coupez-la en tronçons de 5 cm.

Pelez les oignons et émincez-les.

Faites chauffer l’huile d’olive dans une cocotte et faites-y revenir les côtelettes.

Ajoutez les oignons émincés, les carottes, la tomate concassée, les gousses d’aïl entières, le romarin, les herbes de Provence, le sel et le poivre.

Rajoutez le bouillon et le vin blanc. Remuez doucement.

Couvrez et enfournez 1 heure 30.

Accompagnez d’haricots verts.

C’est absolument délicieux, nous nous sommes régalés. Vous pouvez aussi rajouter du quinoa pour ceux qui ont une plus grosse faim.

Si vous avez aimé cette recette, n’hésitez pas à me laisser un commentaire.

Crédit photos : Caroline Générosi-Herpin